Afrique Action : Gabon

LA SITUATION AU GABON


 

 

LA POLITIQUE AFRICAINE

=Un véritable Gag ... Un jour, un Père Noel, assis dans son fauteuil (dans un pays lointain), appela les présidents Africains et leur dit ceci... _ Si vous voulez que je vous aide,

prenez

la démocratie... Et si vous la refusez, je vous fouette,

einh

?!... COMPRIS _ OUI PAPAAA. (répondirent les présidents, tous ensemble et en choeur)!... Vous connaissez la suite << l'Afrique et tous les Afro-descendants sont debout pour arracher la liberté volée... >>, et pour défendre ses richesses : JEUNESSE, URANIUM, COBALT, PETROLE, OR, DIAMANT,.. BOIS, MANGANESE, 

Religion africaine maa t

SON EXCELLENCE : ALI BONGO ONDIMBA

QUELQUE CHOSE SE PASSE AU GABON.... Un véritable Gag (flash-Back)...

La vidéo de prestation de serment du président autoproclamé
D’ailleurs, le président autoproclamé invite cette dernière à la démission et à déclarer sous 14 jours la vacance de pouvoir. Pour lui, « la junte au pouvoir » est actuellement dirigée par le directeur de cabinet d’Ali Bongo, le franco-gabonais Brice Laccruche Alihanga. Là aussi, Steeve Doukaga Doukaga lui a lancé un ultimatum de 14 jours pour « libérer le peuple gabonais sous peine de représailles ». Se disant à la tête du Mouvement de libération du Gabon (MLG), le nouveau président autoproclamé promet même l’amnistie à ceux qui le rejoindront dans cette quête. Non sans appeler à une ville morte et à la grève générale. Le sommet de son appel est assurément son retour au Gabon prévu ce samedi à 14h30 où ce président-prophète compte initier une marche depuis l’aéroport de Libreville. Avant d’observer un sit-in de trois heures devant la Présidence gabonaise.

Moukagni Iwangou s’en prend à Jean Ping et appelle à soutenir Ali Bongo malade

''LE GABON D'ABORD''... L'AFRIQUE n'a pas le droit de perdre son humanité, sa spiritualité et ses moeurs. Ce sont là, ses premières armes de résistance et de puissance. Le Président ALI va bien et ce n'est ni le premier, ni le dernier  Président qui tombe malade. AFRIQUE, NE PERD PAS TES VALEURS...

Jean de Dieu Moukagni Iwangou, actuel ministre de l’Enseignement supérieur, est plus que jamais un adorateur d’Ali Bongo. Dans un long message publié sur Facebook ce lundi, l’opposant modéré qui avait accepté d’entrer au gouvernement d’Ali Bongo qu’il combattaient jusque-là, appelle ses anciens amis de l’opposition à la mesure et à soutenir Ali Bongo dans sa maladie. Ce, non sans avoir de mots durs pour le leader de la Coalition pour la nouvelle république Jean Ping.

Moukagni Iwangou distribue les coups contre ses pairs de l’opposition. Dans une prise de parole aux allures de bilan de son adhésion à la main tendue d’Ali Bongo, l’ancien opposant virulent du régime au pouvoir a changé de cible. Il s’en prend vertement à Jean Ping, sans daigner le nommer. L’ancien leader d’opposition radicale devenu ministre d’Ali Bongo, semble fier de ses choix et des orientations de sa vie politique actuelle.

A propos de Jean Ping qu’il avait pourtant soutenu durant et après la présidentielle d’août 2016, Moukagni Iwangou n’a désormais plus que des mots amers. « L’appel au rassemblement, lancé sans limite à tous les Gabonais, n’a pas trouvé de destinataires particulièrement enjoués. Il s’est soldé par un échec », s’est réjoui à demi-mots le ministre d’Ali Bongo. Et de rajouter : « la dynamique qui a conduit à la candidature unique a définitivement échoué dans les cœurs ».

 

Vidéo retirée par les retireurs 

Gabon beaute

GABON : DROIT DE RETOUR - NOBLE DECISION

Pierre Péan, auteur de Nouvelles affaires africaines...

Le tribunal correctionnel de Paris a condamné jeudi le journaliste Pierre Péan pour avoir laissé entendre que le président gabonais Ali Bongo était à l’origine des tentatives d’assassinat de Jean-Pierre Lemboumba.

Les passages incriminés figurent dans le livre Nouvelles affaires africaines, publié en 2014 aux éditions Fayard, dans lequel le journaliste Pierre Péan revient longuement sur les relations entre Ali et Omar Bongo. Dans l’un des chapitres, l’auteur laisse entendre que le président gabonais aurait commandité deux tentatives d’assassinat à l’encontre de Jean-Pierre Lemboumba, qui était alors le directeur de cabinet d’Omar Bongo et aurait comploté pour empêcher le fils Bongo de succéder à son père. « Un contrat a été mis sur sa tête, écrit ainsi Pierre Péan. C’est un voyou du Havre qui est chargé de l’exécution. La PJ retrouve le donneur d’ordre : un Coréen proche d’Ali Bongo. »Pierre peanL’on se souvient que le journaliste français Pierre Péan avait écrit un livre (“Nouvelles affaires africaine“, brulot contre Ali Bongo sorti en 2014) dans lequel, il affirmait avoir mené une enquête fouillée au terme de laquelle, il avait découvert que Ali Bongo n’était pas le fils biologique d’Omar Bongo et de son épouse Joséphine Kama alias Patience Dabany, mais qu’il était un enfant biaffrais (Nigéria, ndlr) adopté... Et alors !?... _ Selon le même Pierre Péan _ Ali Bongo n’était pas de nationalité Gabonaise, mais plutôt nigériane. Curieusement, ce jeudi 15 septembre 2016, Pierre Péan a retourné sa veste. Il est revenu sur sa position en ce qui concerne le problème de l’adoption d’Ali Bongo.
Dans les colonnes du quotidien Midi Libre, il a avoué qu’il s’était trompé en affirmant que Ali Bongo était un enfant adopté par Omar Bongo. D’après ce dernier, plusieurs témoignages d’enfance attestent que Ali Bongo est le fils biologique de Omar Bongo.
_ Une journaliste du quotidien Midi libre dont l'identité n'est pas révélée démontre avec de nombreux témoignages à l'appui, le caractère factice de cette construction et décrit les années que, Ali Bongo a passé à Alès au sud de la France. Elle est allée rencontrer les témoins de l'enfance du Président à Alès qui rapportent bel et bien qu'Ali Bongo est bien le fils de son père. "C'est bizarre et ça remet en cause mon enquête" a indiqué Pierre Péan ce jeudi dans les colonnes du Midi Libre. Déçu par le fait que certains puissent oser prétendre qu'il n'était pas le fils de son père, Ali Bongo avait toujours demandé à ses détracteurs qu'ils déposent les preuves de leurs allégations... Mais, tout comme Pierre Pean, personne n'était présent, quand Papa et Mama Bongo faisaient (...), à ce jour, pas une seule n'est montrée, même pas une petite vidéo-amateur pour faire le BUZZZZ... On comprend pourquoi 99,99 % des livres écrits par les occidentaux sur l'Afrique..., ''sont faux'' !

Re my sahlomon 4Source : webnews

Le tribunal correctionnel de Paris a condamné jeudi le journaliste Pierre Péan pour avoir laissé entendre que le président gabonais Ali Bongo était à l’origine des tentatives d’assassinat de Jean-Pierre Lemboumba.

Les passages incriminés figurent dans le livre Nouvelles affaires africaines, publié en 2014 aux éditions Fayard, dans lequel le journaliste Pierre Péan revient longuement sur les relations entre Ali et Omar Bongo. Dans l’un des chapitres, l’auteur laisse entendre que le président gabonais aurait commandité deux tentatives d’assassinat à l’encontre de Jean-Pierre Lemboumba, qui était alors le directeur de cabinet d’Omar Bongo et aurait comploté pour empêcher le fils Bongo de succéder à son père. « Un contrat a été mis sur sa tête, écrit ainsi Pierre Péan. C’est un voyou du Havre qui est chargé de l’exécution. La PJ retrouve le donneur d’ordre : un Coréen proche d’Ali Bongo

Bongo pierre 1

Une « base actuelle insuffisante »

Des accusations « très graves » et « formulées de façon affirmative », dont « la base factuelle s’avère insuffisante », a jugé la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris.

En l’occurrence, le journaliste avait rapporté les propos de Jacques Foccart, le « Monsieur Afrique » des présidents français, qui lui avait confié que la première tentative d’assassinat avait été « plus ou moins inspiré par Ali Bongo ». Une allégation jugée « trop vague » par le tribunal, qui a également réfuté les propos rapportés par Pierre Péan d’un enquêteur anonyme.

Les juges notent en outre que « s’agissant de la seconde tentative d’assassinat, aucun document n’est versé à l’appui des propos incriminés ».

En revanche, le tribunal a débouté le président gabonais concernant d’autres passages du livre, où l’auteur relate la rumeur selon laquelle Ali Bongo serait responsable de l’empoisonnement mortel de Georges Rawiri, ancien président du Sénat et considéré comme le numéro 2 du régime.

Pierre Péan a également été relaxé pour ses propos sur la fraude lors des élections présidentielles de 2009, au motif qu’ils sont étayés par une « documentation solide, variée, abondante, et qui se recoupe ».  

Un euro de dommages et intérêts

Dans son jugement, le tribunal correctionnel condamne le journaliste Pierre Péan et son éditrice Sophie de Closets à payer une amende de 1 000 euros chacun et à verser un euro de dommages et intérêts à Ali Bongo.

L’avocate du président gabonais, Me Delphine Meillet, s’est déclarée « extrêmement satisfaite » par le jugement du tribunal. « Pierre Péan est un habitué de la 17e chambre (où sont jugées notamment les affaires de diffamation, ndlr) et il est légitime qu’il soit condamné, explique-t-elle à Jeune Afrique. Son ambition est claire : il s’agit de délégitimer le président Bongo. »

Gabon: la Constitution modifiée pour pallier l’absence du président malade


15.11.2018
La Cour constitutionnelle du Gabon a modifié la Constitution pour pallier l’absence du président Ali Bongo Ondimba, hospitalisé depuis trois semaines à Ryad, une décision jugée « inacceptable » jeudi par l’opposition et la société civile qui parlent de « coup de force ».
Tard mercredi soir, Marie-Madeleine Mborantsuo, présidente de la Cour constitutionnelle depuis 1991, a convoqué la presse pour lui faire part de la décision de la Cour de modifier la loi fondamentale afin de faire face à « l’incapacité temporaire » du président Bongo.
Ce dernier est hospitalisé depuis le 24 octobre en Arabie saoudite où, selon la présidence à Libreville, il se trouve « dans une phase de recouvrement de la plénitude de ses facultés physiques » à la suite d’un « malaise », de « vertiges » et d’un « saignement ».
Aucune précision n’a été donnée sur le mal dont souffre Ali Bongo, 59 ans, ni sur la date de son éventuel retour au Gabon.
La Constitution actuelle ne prévoyant pas le cas d´ »incapacité temporaire » du chef de l’Etat, la Cour, saisie par le Premier ministre Emmanuel Issoze Ngondet, a donc décidé d’y ajouter un alinéa.
« En cas d’indisponibilité temporaire du président (…) certaines fonctions (…) peuvent être exercées, selon le cas, soit par le vice-président de la République, soit par le Premier ministre, sur autorisation spéciale de la Cour constitutionnelle », indique-t-il.
Dans un premier temps, la Cour a autorisé le vice-président, Pierre-Claver Maganga Moussavou, « à convoquer et à présider un Conseil des ministres qui portera exclusivement sur l’ordre du jour joint à la requête du Premier ministre ».
Aucun Conseil des ministres ne s’est tenu depuis l’absence du président Bongo.
Avant d’être modifiée par la Cour, la Constitution stipulait que seul le président pouvait autoriser son vice-président à organiser un Conseil des ministres.
En cas de vacance définitive du pouvoir, qui n’a pas été constatée par la Cour, le président du Sénat doit assurer l’intérim jusqu’à l’organisation d’une élection présidentielle dans un délai maximum de 60 jours.
– « Un coup de force » –
L’opposition et la société civile ont dénoncé « un coup de force » et « un coup d’Etat constitutionnel » opérés par Mme Mborantsuo, pilier du régime des Bongo, d’abord du père, Omar, qui a dirigé le pays de 1967 à 2009, puis du fils Ali qui lui a succédé.
Paul-Marie Gondjout, cadre de l’Union nationale (UN), l’un des principaux partis d’opposition, a affirmé sur les réseaux sociaux que la Cour constitutionnelle « n’a nullement le droit de modifier la Constitution, elle ouvre de fait un nouveau front dans la profonde crise politique gabonaise ».
« C’est inacceptable », a déclaré à l’AFP Jean-Christophe Owono Nguema, sénateur de l’opposition. « Cette dame (Mme Mborantsuo) ne peut piétiner ainsi notre Constitution et brader la souveraineté du peuple gabonais, je crains le pire pour mon pays », a-t-il ajouté.
Télésphore Ondo, constitutionnaliste à Libreville, estime cependant que la Cour a un « pouvoir d’interprétation » et de « régulation des institutions » et est donc dans son droit en modifiant la loi fondamentale.
Cette décision a selon lui pour but de « sortir des turbulences institutionnelles » et la Cour constitutionnelle, face « à une lacune et un doute », a dû agir « dans l’urgence ».
Wilson-André Ndombet, politologue proche de l’opposition à l’Université Omar Bongo (UOB), reconnaît également qu’il y avait « une situation de blocage des institutions, c’était un chaos constitutionnel ».

Famille Bongo2

Afrique media 2

Les Gabonais réclamaient des images d'Ali Bongo. C'est désormais chose faite...

Les Gabonais réclamaient des images d'Ali Bongo. C'est désormais chose faite. Ce lundi, le président gabonais est apparu sur ce qui constitue les premières images depuis son hospitalisation à Riyad, à l'occasion d'une visite du roi Mohammed VI à son "frère". Détails.

La vidéo dure à peine 35 secondes. On y voit le président gabonais, drapé dans une jellaba grise et turban assorti, aux côtés du roi Mohamed VI du Maroc. Les deux hommes échangent pendant les quelques secondes que dure la vidéo. La gestuelle un peu lente, le président gabonais s'est même permis de siroter une gorgée de son verre de lait servi lors de l'entrevue. 

Nous ne faisons pas de politique, mais nous pensons que l'Afrique n'a pas le droit de perdre ses valeurs, au nom de la démocratie... Il est à savoir que la paix et l'amour qui régissent l'harmonie dans nos peuples, n'arrangent pas ceux qui nous dérangent... Vous avez tout compris ! _ Personnellement, je ne souhaiterais jamais l'élimination d'un seul français, parce que la France a pulvérisé mon village au Napalm... C'est juste une question de bon sens. _ VIVRE ENSEMBLE

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JEAN PING : Tantôt pour - Tantôt contre la CPN (cours pénale nègre / CPI)

Les Etats-Unis positionnent 80 militaires au Gabon

Le président Donald Trump a indiqué qu'il avait posté 80 militaires au Gabon pour protéger les intérêts américains en cas de troubles à l'annonce du résultat des élections en République démocratique du Congo, où les forces de sécurité congolaises ont commencé à prendre localement des mesures. "Le personnel des forces armées des Etats-Unis s'est déployé à Libreville au Gabon, afin d'être en mesure d'assurer la sécurité des citoyens, du personnel et des installations diplomatiques américaines à Kinshasa en République démocratique du Congo", a écrit le président américain dans une lettre aux présidents des deux chambres du Congrès. "Ce déploiement d'environ 80 personnes est une réponse à la possibilité que des manifestations violentes puissent survenir en République démocratique du Congo en réaction aux élections du 30 décembre", a ajouté le président américain dans la lettre diffusée par son service de presse.

La musique traditionnelle au Gabon

La musique traditionnelle gabonaise continue d’occuper une place de choix dans la société gabonaise. Cette musique est composée des rites, danses, des instruments et ainsi que ses figures emblématiques.

Danseuses traditionnelles. Photo: exruefrontenac.com

Les rites et danses traditionnelles

Le Gabon qui compte environ 50 ethnies dispose d’un important folklore qui constitue le socle de sa musique traditionnelle. De plus, la musique traditionnelle gabonaise est liée à des aspects patrimoniaux et identitaires des différents peuples dont elles sont issues.
Elle permet de perpétuer les rites initiatiques (en fonction du sexe), les danses de réjouissances, les moments ludiques et festifs. Cependant, la musique, la danse et les chants traditionnels sont indissociables de la société gabonaise.
La plupart des chansons et des danses traditionnelles à caractère sacré ou social sont dorénavant exécutées pour le divertissement.
Les  rites et danses les plus représentatives au Gabon sont les suivants :
Le Bwiti (rite initiatique et une danse), est essentiellement masculin et est répandu dans les neuf provinces du pays avec des variantes adaptées à l’ethnie dans laquelle, il est pratiqué. En outre, les femmes qui accompagnent les veillées initiatiques sont appelées maboundi ;
L’ikokou (chants et danses de réjouissance) de l’ethnie punu, a des variantes telles que le « ngwate », le « muteleku », la danse sur échasses « mukudji » et d’autres variantes (Les chants et danses de veillées funèbres ; les jeux chantés ; les chants monodiques);
L’ekounda est une danse Myènè que l’on interprète à plusieurs occasions (deuil, mariage et veillées) dans les villages et les villes de la province de l’Ogooué Maritime;
Lendjobi (rite initiatique masculin et danse festive), est pratiqué dans la région du Sud-Est par les ethnies Obamba, Téké et des sous-groupes de ces ethnies ;
Lemwiri (rite initiatique) se pratique chez les peuples du centre et du sud du Gabon ;
Lendjembé (rite et danse initiatique féminin), est présent dans quatre provinces (Moyen-Ogooué, l’Ogooué-Maritime, la Ngounié et la Nyanga).
Le melane, danse traditionnelle issue de l’ethnie Fang, donnait droit à un rite initiatique.
Le lingwala est une danse de réjouissance de l’ethnie Nzebi (mariage, circoncision, retrait de deuil) et mêle des danseurs des deux sexes.
L’elone (danse de jouissance), est une danse qu’affectionne la jeunesse du nord du Gabon;
Les chants polyphoniques des pygmées Bibayak accompagnent les activités quotidiennes et les évènements de ce peuple des forêts.
_ Par Jean Pierre Moudjalou

Date de dernière mise à jour : 2019-11-15

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