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Média-Santé

Donald Trump fait la guerre aux vaccins : raid du FBI au CDC !... Vérité sur le SIDA | un complot, un business, une tuerie avérée : Les vérités dérangeantes sur le SIDA révélées

L’interview du professeur Luc Montagnier

Pour aider à clarifier cette question, Brent Leung, le réalisateur de House of Numbers a accepté de fournir un film non coupé de la conversation avec Luc Montagnier qui a un message différent sur le SIDA à faire passer, jugez par vous même

 

La tragédie des années 1970s, c'est celle d'une réorientation acrobatique de la recherche sur le cancer qui avait, durant les années 1970, été dominée par l'idée d'un hypothétique lien de causalité qui existerait entre certains rétrovirus et le cancer chez l'homme. Cette hypothèse n'a jamais reçu l'ombre d'une confirmation. Fort malheureusement, et principalement aux Etats-Unis, des investissements colossaux avaient été faits dans cette direction durant toute la décennie 1970. Devant l'absence de tout résultat, il fallait sauver la face, éviter l'humiliation ! L'occasion de sauver la face fut offerte par une publication de Michael Gottlieb, parue dans les rapports des CDCs d'Atlanta, en juin 1981, occasion qui fut saisie par les plus hautes sphères de la science médicale américaine avec une précipitation consternante ! La publication de Gottlieb se rapportait à 5 cas de pneumonie à Pneumocystis carinii, observés chez 5 homosexuels de la région de Los Angeles, en fait les 5 premiers cas de SIDA présentés dans la littérature médicale mondiale.
L'histoire du SIDA est indissociable de celle de la recherche sur le cancer dans les années 1970. Si on ne s'était pas acharné à démontrer le rôle tout à fait hypothétique des rétrovirus dans le cancer chez l'homme, l'article de Gottlieb n'aurait probablement pas suscité les réactions universelles que nous avons connues, et (qui sait ?) peut-être aurait-on pu éviter l'obligation d'inventer le VIH avec, comme dramatique conséquence, ce que David Rasnick a très proprement appelé " La bourde du SIDA ".

L'évolution des méthodes était spectaculaire : la biologie et la génétique moléculaire prenaient une part de plus en plus dominante de tous les programmes de recherche. Les méthodes moléculaires auraient pu contribuer mieux qu'elles ne l'ont fait si leurs applications ne s'étaient pas faite de manière très exclusive, souvent précipitée, ou en omettant les expériences de contrôle essentielles ! Un exemple historique est donné par les publications de Temin et de Baltimore: si ces auteurs avaient pris le temps qu'il fallait pour vérifier le degré de purification des virus qu'ils utilisaient, ils n'auraient jamais interprété leurs résultats comme ils l'ont fait, c'est-à-dire en prétendant que l'enzyme transcriptase inverse était d'origine virale. Nous savons aujourd'hui que des débris cellulaires étaient très probablement présents dans leurs préparations soi-disant " purifiées ", et que cette contamination par des débris cellulaires expliquait, à elle seule, la présence de l'activité enzymatique. Mais il fallait aller très vite ! Baltimore a même raconté qu'il avait fait les expériences lui-même... en deux jours (!), tant il voulait que ses résultats soient publiés dans Nature, dans le même fascicule que ceux de Temin...
Cette précipitation était apparemment contagieuse car elle a gagné le comité Nobel à Stockholm, attribuant le prix Nobel à Temin et à Baltimore dès 1975 !
Dans un climat aussi compétitif et générateur de tant d'anxiété, les dérapages devenaient inévitables. Plusieurs cas graves de fraude scientifique éclatèrent durant les années 1970, concernant des personnalités fortes en vue, travaillant dans des institutions prestigieuses... L'effet très démoralisant de ces accidents était amplifié par un mitraillage médiatique impitoyable ! Le spectacle était navrant : d'un côté des collègues qui dérapent dans la fraude, de l'autre des grands patrons qui se laissent embarquer par Big Pharma...

EBOLA & SIDA : des méthodes d'infection, pour diminuer une certaine couche de population... ( D'autres maladies biologiques sont à dénoncer...!

INCROYABLEMENT... ! CE MONDE EST-IL SÉRIEUX...??? !

 

BILL GATES _ Comment diminuer la population Africaine ?... Voir Vidéo

Un laboratoire d’armes biologiques US en Sierra Leone , à l’épicentre de la flambée de fièvre Ebola : De la Fondation Soros a la Fondation Bill et Melinda Gates !

L’Inde poursuit la Fondation Bill et Mélinda Gates pour avoir testé sans leur consentement des vaccins sur des enfants ( lls auraient provoqué 10 000 décès liés à la vaccination rien qu’au Pakistan) !
Décidément, le nom de GATES et de leur fondation ressort beaucoup en ce moment, notamment quant au 
 dont on a déjà parlé :

DIABETE

Docteur filipo&

Le diabète est une maladie très grave qui peut avoir des conséquences mortelles si non traitées correctement. Cette maladie est de plus en plus fréquent chez les personnes de tous les âges et les sexes et le pire est que si vous développez vous aurez à supporter un traitement à vie. Comme la maladie progresse, elle peut entraîner des lésions rénales, des lésions nerveuses, amputations et même la cécité.ous ce que vous pensez.

Selon la Fédération Internationale du Diabète, Philippines est l’un des points chauds émergents de diabète dans le monde. Même si il y a eu des recherches approfondies dans le but de trouver un remède à cette condition, il n’a pas encore été en mesure de découvrir quelque chose de nouveau depuis la découverte de l’insuline.
Toutefois, le Dr Jaime Dy-Liacco, un docteur en médecine métabolique, affirme qu’il a trouvé le remède pour le diabète et vous aurez seulement besoin de cinq minutes pour le faire. L’ancien expert de 82 ans en provenance des Philippines dit que le sucre est pas la cause sous-jacente pour le diabète, mais l’absence de six minéraux essentiels dans le corps. Si votre corps a la quantité nécessaire de ces six minéraux que vous pouvez manger autant de desserts que vous le souhaitez. Sur la base de ses découvertes, il a conçu une recette spéciale qui fournira à votre corps les minéraux nécessaires pour lutter contre le diabète.

Tu auras besoin de:

12 pièces de Piment (labuyo Siling)
2 oeufs crus
½ cuillère à café de sel de mer
Préparation:

Broyer et couper les piments et le mélanger avec les oeufs crus. Ajouter le sel de la mer à la fin et le boire. La meilleure partie est qu’il peut être préparé en moins de 5 minutes, mais garantit d’excellents résultats. Essayez-le et dites-nous...

 

L'ARNAQUE DU SIDA _ Dr Fiala, médecin obstétricien humanitaire : il n'y a pas de SIDA en Afrique, le mensonge du VIH

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Derrière la santé de Bill Gate il y a ... Cliquer !

L'infirmière française contaminée par le virus Ebola est guérie

La jeune femme, volontaire pour MSF, avait été rapatriée du Liberia mi-septembre. Elle était depuis soignée dans un hôpital militaire près de Paris.L'infirmière française contaminée par le virus Ebola lors d'une mission au Liberia est guérie, a annoncé ce samedi midi la ministre de la Santé Marisol Touraine dans un communiqué.La jeune femme, dont le nom et la fonction au sein de Médecins sans frontières (MSF) n'ont pas été précisés, a quitté l'hôpital militaire Bégin de Saint-Mandé dans le Val-de-Marne où elle a reçu des traitements expérimentaux, précise le ministère de la Santé. L'établissement fait partie des hôpitaux prêts à recevoir d'éventuels malades du virus. Des salles d'isolement hautement sécurisées y ont été aménagées et les consignes d'hygiène draconiennes sont appliqués.
Il s'agissait du premier cas de fièvre Ebola sur le territoire français.
Volontaire pour l'organisation MSF, l'infirmière avait été rapatriée en France dans la nuit du 18 au 19 septembre et avait été placée sous traitement expérimental. Plus de 2000 membres de MSF sont actuellement déployés pour lutter contre Ebola en Afrique de l'Ouest, dont 200 environ volontaires internationaux. En revanche, au Texas, un Libérien, premier malade d'Ebola diagnostiqué aux Etats-Unis, est dans un état très grave, a indiqué samedi l'hôpital de Dallas où il est traité. Son état qualifié jusque-là de «de grave mais stable» s'est aggravé. L'épidémie de fièvre Ebola, qui s'est déclarée en mars en Afrique de l'ouest, a fait 3439 morts sur 7492 cas diagnostiqués, a annoncé vendredi l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Le Liberia est le pays le plus touché, avec 2069 morts. La Guinée en compte 739 et la Sierra Leone 623. Huit cas mortels ont par ailleurs été recensés au Nigeria.

ARTICLE DE PROPAGANDE

Une équipe de virologues américains a annoncé dimanche le premier cas de guérison fonctionnelle d’un enfant contaminé à la naissance avec le virus du sida (VIH) transmis par sa mère séropositive non traitée.

Il ne s’agit pas d’une éradication du virus mais du fait que sa présence est tellement faible que le système immunitaire de l’organisme peut le contrôler sans traitement antirétroviral, expliquent les virologues.

La seule guérison complète officielle reconnue au monde est celle de l’Américain Timothy Brown, dit le patient de Berlin. Il a été déclaré guéri après une greffe de moelle osseuse d’un donneur présentant une mutation génétique rare empêchant le virus de pénétrer dans les cellules. Cette greffe visait à traiter une leucémie. Dans le cas de l’enfant pouvant désormais contrôler sans traitement son infection, il avait reçu des antirétroviraux moins de 30 heures après sa naissance. Ce traitement précoce explique probablement sa guérison fonctionnelle en bloquant la formation de réservoirs viraux difficiles à traiter, selon les chercheurs qui ont présenté ce cas à la 20e conférence annuelle sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI) réunie ce week-end à Atlanta (Géorgie). Ces cellules contaminées «dormantes» relancent l’infection chez la plupart des personnes séropositives dans les quelques semaines après l’arrêt des antirétroviraux. «Faire une thérapie antirétrovirale chez les nouveau-nés très tôt pourrait permettre d’obtenir une très longue rémission sans antirétroviraux en empêchant la formation de ces réservoirs viraux cachés», souligne le Dr Deborah Persaud, une virologue du Centre des enfants de la faculté du centre hospitalier universitaire Johns Hopkins à Baltimore (Maryland, est), principal auteur de cette étude clinique. C’est ce qui s’est apparemment passé avec cet enfant, estime cette chercheuse. Les tests avaient montré une diminution progressive de la présence virale dans le sang du nouveau-né jusqu’à ce que le virus soit indétectable 29 jours après la naissance. L’enfant a été traité avec des antirétroviraux jusqu’à 18 mois, âge à partir duquel les médecins ont perdu sa trace pendant dix mois. Pendant cette période il n’a pas eu de traitement antirétroviraux. Les médecins ont procédé alors à une série de tests sanguins dont aucun n’a détecté la présence de VIH dans le sang. La suppression de la charge virale du VIH sans traitement est excessivement rare étant observée dans moins de O,5% des adultes infectés dont le système immunitaire empêche la réplication du virus et le rend cliniquement indétectable, précisent ces virologues. Selon eux, ce cas pourrait changer la pratique médicale actuelle en mettant en lumière le potentiel d’un traitement antirétroviral très tôt après la naissance d’enfants à haut risque. Mais, soulignent ces chercheurs, le premier objectif est d’empêcher la transmission de la mère à l’enfant. Les traitements antirétroviraux de la mère permettent actuellement d’éviter de transmettre le virus à l’enfant dans 98% des cas, précisent-ils.

La recherche a été financée par les Instituts nationaux de la santé et l’American Foundation for AIDS Research.

 

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Date de dernière mise à jour : 2019-02-12

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Commentaires

  • tresor2
    • 1. tresor2 Le 2014-07-27
    un vrai fléau dans mon pays merci pour cette prise de conscience une nouvelle ère commence pour mes sœurs et mes filles

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