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Littérature Camerounaise

LUC MICHEL DIT LA VÉRITÉ...

Afrique Media TV, première chaîne de télévision africaine et principal soutien de KOUDOU GBAGBO... Fait la fête à KOUDOU GBAGBO

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L'AFRIQUE EST EN ROUTE

 

 

 

André Blaise Essama a purgé six mois de prison pour avoir déboulonné la statue d'un ancien maître...

Andre blaise essama 1

LE CAMEROUN SERIEUSEMENT ATTAQUE PAR LE SYNDRÔME DE STOCKHOLM : anglophonie – francophonie...

Le syndrome de Stockholm désigne un phénomène psychologique observé chez des otages ayant vécu durant une période prolongée avec leurs geôliers et qui ont développé une sorte d'empathie, de contagion émotionnelle vis-à-vis de ceux-ci, selon des mécanismes complexes d'identification et de survie...

_ ANDRE BLAISE ESSAMA vient de purger 6 mois de prison pour avoir déboulonné la statutue d'un colon... 

 

En pulvérisant le napalm sur le Cameroun pendant la guerre d'indépendance, la France a massacré les populations en tuant entre 350 000 à 700 000 Camerounais.

Max bardet roi du napal franc ais 1Max Bardet, le pilote français qui pulvérisa le Cameroun au napalm

De 1962 À 1964, l'armée régulière (française) a complètement ravagé plusieurs régions du Cameroun (Bamiléké, Bassa... Et autres). 300 000 à 400 000 Camerounais furent massacrés au napalm. Bien évidemment, sagaies contre armes automatiques, les Camerounais n'avaient aucune chance et les villages avaient été rasés complètement. Max Bardet, pilote d'hélicoptère et officier du corps expéditionnaire français était aux commandes.
_ Le Napalm, inventé en 1942, est une substance à base d'essence, habituellement utilisée dans les bombes incendiaires. Sa formule est faite pour brûler à une température précise, coller aux objets et aux personnes. Il fut inventé à l'université Harvard en 1942 pour l'utilisation dans des bombes et des lance-flammes. Le chimiste américain Louis F. Fieser (1899-1977), qui avait inventé le napalm, en était si fier qu'il collectionnait les coupures de presse relatives à son utilisation...
_ La répression en Sanaga maritime et en pays Bamiléké… Était sanglante. sans ignorer que des quartiers furent incendiés dans de grandes villes (le quartier Congo à Douala... Par exemple) et, la presque ''totalité'' des indépendantistes éliminés par exécution publique, assassinat... Bref, c'est la Fance qui a remporté la bataille avec la complicité d'une petite bourgeoisie comprador locale (un peu comme..., au Chilli). Mais, l'image du sang ne meure jamais et le véritable combat est engagé. Les enfants et les descendants de ceux qui ont versé leur sang pour l'indépendance du Camroun ont pris le devoir en mains... Esclavage, Colonisation, néo-colonisation, Combat = liberté Les leçons sont apprises... !

Ceci est un « cri de détresse » des jeunes femmes africaines devenues esclaves au Koweït... ignorance où naïveté, je ne me permettrai pas de juger la volonté d'un coeur qui a voulu voir ce qui se passe ailleurs... Faisons quelque chose _ en partageant au maximum, quelque chose de bien se passera... Je vous remercie par avance.

<< Cri de détresse >> des Femmes à voir à la deuxième page

Mbog Bassong met au jour le mensonge des occidentaux (blancs) et son impact sur les peuples noirs d'Afrique

_ Le mot ''Blancs'' dans ce contexte veut dire ''Occidentaux'' (dans la plupart des pays africains). Rien à avoir avec le racisme...

LE GOUVERNEMENT CAMEROUNAIS A AUSSITÔT REAGI...

SUITE A L'APPEL SOLENNEL LANCE POUR LA LIBERATION DES FEMMES SOUMISES A L'ESCLAVAGE AU KOWEIT...
Dans un communiqué signé le 25/09/18 par le ministre des relations extérieures, après une décision de son Excellence, Biya Bi Mvondo Paul, annonce la libération et le retour des Femmes soumises à l'esclavage au Koweït. Leur retour est prévu le 10 octobre au Cameroun, mais d'ores et déjà, nous disons merci au gouvernement du Cameroun et au Président Biya Bi Mvondo, pour avoir été attentif à notre appel.

Richesse sagesse

VIVRE ENSEMBLE

Vivre ensemble

COMMUNAUTÉ ÉCONOMIQUE ET MONÉTAIRE DE L'AFRIQUE CENTRALE

Paul biya pre sident du camerounLe président Paul Biya, est officiellement réélu. Il a été donné vainqueur, ce lundi, du scrutin du 7 octobre, après plus de quatre heures de proclamation des résultats donnés par le Conseil constitutionnel, département par département. Une victoire écrasante sur fond de contestation des candidats de l’opposition.

Le président Paul Biya est vainqueur dans neuf régions sur dix. Il l'emporte largement dans les trois départements du septentrion : 79 % des suffrages exprimés dans l'Adamaoua, 89 % dans l'Extrême-Nord, 81 % dans le Nord. Il l'emporte aussi largement dans le Centre et dans  l'Est  et obtient 92,91 % des voix dans son fief du Sud.

Seul le Littoral (dont le chef-lieu est Douala, la capitale économique) échappe au président sortant. Le candidat de l'opposition Maurice Kamto, qui avait revendiqué la victoire au lendemain du scrutin, y est donné vainqueur avec 38,60 % des suffrages. Maurice Kamto qui, selon ces résultats officiels, arrive en deuxième position avec 14,23 % des voix.

Cabral Libii prend la troisième place avec 6,28 % des voix.

A noter enfin le très mauvais score de Joshua Osih, du SDF, qui était pourtant le principal parti de l'opposition camerounaise, et qui obtient seulement 3,35 %.

Tous ces chiffres, les opposants les contestent. Ils parlent tous de résultats fabriqués et d'élection volée. On attend désormais les déclarations officielles de ces candidats, notamment celle de Maurice Kamto.

Depuis ce matin, en tout cas, un fort déploiement sécuritaire est visible à Yaoundé et à Douala où la police anti-émeute et la gendarmerie sont déployées notamment au niveau des grands carrefours.

A noter également qu'Adamou Ndam Njoya obtient 1,73 %, Garga Haman Adji 1,55 %, Frankline Ndifor 0,67 %, Serge Espoir Matomba 0,35 % tout comme Akere Muna qui s'était désisté, à la veille du scrutin, en faveur de Maurice Kamto.

LE CAMEROUN N'EST PAS UNE PROVINCE DE LA FRANCE

«Le Cameroun n'est pas un Dom-Tom» : manifestation à Yaoundé contre des propos de Macron 24 févr. 2020, plus de mille jeunes Camerounais sont descendus dans la rue ce 24 février pour protester contre les propos d'Emmanuel Macron, qui a promis de mettre «le maximum de pression» sur le président camerounais. Les partisans du président du Cameroun Paul Biya n'ont pas du tout apprécié les propos d'Emmanuel Macron. Ce 24 février, ils étaient entre 400 et 600, selon une estimation de la police, à manifester devant l'ambassade de France à Yaoundé pour protester contre la promesse du chef de l'Etat français, formulée le 22 février, d'exercer une «pression» sur son homologue camerounais. Ces jeunes ont chanté et dansé à la gloire du président camerounais, tout en s'insurgeant contre l'attitude d'Emmanuel Macron. La plupart d'entre eux portaient des drapeaux du Cameroun tandis que d'autres brandissaient des pancartes hostiles au président français. «M. Macron, le Cameroun n'est pas un Dom-Tom», «M. Macron mêle-toi de tes oignons», pouvait-on lire sur certaines pancartes.  Ils demandent «des excuses» «Nous sommes ici pour riposter aux propos de Macron parce qu'il a manqué de respect à notre patriarche [Paul Biya]», a expliqué un manifestant, Souley Aboubakar, président d'une des associations des jeunes partisans de Paul Biya, à l'origine de ce rassemblement.  «Il [Emmanuel Macron] est un président de la République. Il doit être respecté, mais il doit respecter notre président», a-t-il ajouté. «Nous ne sommes pas une province de la France. Le Cameroun est un Etat souverain, indépendant depuis 1960», a-t-il poursuivi, invitant Emmanuel Macron à présenter «des excuses». La même exigence a été exprimée par d'autres manifestants.  Incident diplomatique Le 22 février, le président de la République avait dénoncé «des violations  des droits de l'homme intolérables» au Cameroun, promettant de mettre «la pression» sur Paul Biya pour que «la situation cesse». «Je vais appeler la semaine prochaine le président camerounais Paul Biya et on mettra le maximum de pression pour que la situation cesse. Il y a des violations des droits de l’homme au Cameroun qui sont intolérables, je fais le maximum», a expliqué le chef de l’Etat français. Il répondait à un activiste camerounais qui l'avait interpellé ce même jour lors du salon de l'agriculture. Le 14 février, 23 personnes dont une majorité d'enfants sont mortes au cours d'une opération militaire dans le village de Ntumbo, dans le nord-ouest du Cameroun, selon l'ONU, qui a pressé Yaoundé de mener une enquête «indépendante, impartiale et complète». Le 23 février, Yaoundé a réagi, assurant vouloir «rester maître de son destin», et a réaffirmé «qu'il n'y avait pas eu 22 villageois, dont quatorze enfants, tués».

 

Date de dernière mise à jour : 2020-02-24

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