L'APPEL DE DIEU Paris Centre Chrétien est une église dynamique et puissante qui a commencé avec une poignée de personnes pour devenir rapidement une des églises les plus influentes de France. Depuis sa création, Dieu a confirmé la prédication de Sa Parole par de nombreux miracles, guérisons, saluts et délivrances. Dirigée par le Madame Dorothée Rajiah (Pasteur) et assistés par une large équipe d'hommes et de femmes oints. PCC est une église protestante qui compte plusieurs milliers de membres et qui est membre de la CEAF et de la Fédération Protestante de France.
POURQUOI ET COMMENT la vierge noire a été blanchie ... .!
Frithjof Schuon, 1907-1998
Frithjof Schuon
est né à Bâle (Suisse) le 18 juin 1907 de parents d'origine germanique et alsacienne. Dans sa jeunesse il s'établira à Paris où il exerce son métier de dessinateur sur textile. De tempérament mystique et gnostique il s'imprègne du Vêdânta et s'intéresse en profondeur à toutes les religions dont le Christianisme et l'Islam. Lecteur et correspondant du métaphysicien français René Guénon, il se rend en 1938 et 1939 au Caire pour y faire sa connaissance. Après la deuxième guerre mondiale, Schuon, qui réside à Lausanne, entreprend plusieurs voyages en Amérique du Nord, pour y rencontrer les Indiens des Plaines restés traditionnels, au Maroc et dans plusieurs pays d'Europe. Son oeuvre écrite compte plus de vingt livres traduits dans de nombreuses langues et constitue une véritable somme métaphysique et spirituelle sans équivalent au vingtième siècle. Il y développe et explicite largement le thème de ''l'Unité transcendante des Religions" et de la nécessaire compréhension "ésotérique" de celles-ci comme antidote au nihilisme contemporain.
Manuscrits (exemples d'écriture)
"La vie humaine se déroule simultanément sur trois plans, ou plutôt l'égosubit trois centres d'attraction auxquels il répond de différentes manières, suivant sa nature ou sa valeur. Nous vivons à la fois dans le corps, le cerveau et le coeur, si bien que nous pourrions parfois nous demander où se situe notre véritable "moi"; en fait, l'égo proprement dit, le "moi" empirique, a son siège sensible dans le cerveau, mais il glisse volontiers vers le corps et tend à s'identifier avec lui, tandis que le coeur est le siège symbolique du Soi, dont nous avons conscience ou que nous ignorons, mais qui est notre vrai centre existentiel et intellectuel, et par là même universel.
" Sentiers de Gnose, La Place Royale, 1987, p.104
Marie, selon (Frithjof Schuon, 1907-1998)
Peinture de Frithjof Schuon, 1907-1998
"Je suis noire et belle" ?"Je dors, mais mon coeur veille". ?(Cantiques des Cantiques).
Les perfections virginales sont la pureté, la beauté, la bonté et l'humilité; ce sont ces qualités que doit réaliser l'âme en quête de Dieu... Comme Marie et, comme la Substance universelle - l'âme sanctifiée est "vierge", "épouse" et "mère".
Frithjof Schuon, 1907-1998
La Vièrge Marie selon - FRITHJOF SCHUON
Marie est à la fois fermée et ouverte, inviolable et généreuse; elle est "vêtue du soleil" parce qu'elle est vêtue de la Beauté, "splendeur du Vrai", et elle est "noire mais belle" parce que le Voile est à la fois fermé et transparent, ou parce que, après avoir été fermé en vertu de l'inviolabilité, il s'ouvre en vertu de la miséricorde."
FRITHJOF SCHUON
"... le mystère "Ève-Marie" ou l' "'Eternel Féminin" à la fois séducteur et salvateur...'" Je suis noire mais belle", dit le Cantique des Cantiques, et aussi "tu es toute belle, mon amie, tu es sans défaut"... La couleur noire de la bien-aimée ... représente moins la très relative ambiguïté de l'Existence que l' "effacement" de celle-ci...
... Le mystère "de Marie" ou ''l'Éternel Féminin" est à la fois séducteur et salvateur...
''Je suis noire et belle", dit le Cantique des Cantiques et, aussi "tu es toute belle, mon amie, tu es sans défaut"... La couleur noire de la bien-aimée..., représente moins la très relative ambiguïté de l'Existence que ''l'effacement" de celle-ci...
Frithjof Schuon, 1907-1998
Quelques apparitions miraculeuses
Dernière question, c’est le troisième signe qui apparaît à La Réunion, il y a eu 1906 à Saint-André, 1919 à Cilaos et 2009 à nouveau à Saint-André
Mgr Aubry : ''c’est un signe du ”Christ''
Monseigneur Gilbert Aubry s’est rendu dès hier soir à l’église Jésus Misércordieux de Cambuston, à Saint-André, pour constater l’apparition des traits du visage du Christ, sur le coussin posé sur le “fauteuil de présidence”. Il nous livre ses impressions, son analyse et le message qu’il faut en tirer. Voici l’intégralité de son interview en texte et vidéo.
Vos premières impressions ?
“Tout d’abord, je dirai tout d’abord que c’est un phénomène qui est constatable par tout le monde, qui a été photographié et filmé par des milliers de personnes. Donc c’est un phénomène réel”. “Deuxièmement, est-ce qu’il y a manipulation ? Hier soir, je suis parti avec des collaborateurs et le curé de la paroisse et des laïcs, on a regardé, on a considéré le coussin et le meuble. Il n’y a pas de plis, il n’y a pas de produits chimiques. C’est une image qui apparaît par volume, il n’y a pas de lignes tracées sur le tissu”. Et puis en manipulant hier soir, il y a des traits supplémentaires qui sont apparus. Ce matin à l’ouverture de l’église, il n’y avait plus rien, puis après l’image est réapparu devant les fidèles, voilà la première constatation”. La ferveur déclenchée par ce phénomène vous surprend toujours ? “Nous avons affaire à un peuple religieux, mais mois je pense aux paroles de Saint-Paul. Nous avons à être des personnes raisonnables, justes et religieuses”. “Par conséquent, ce n’est pas une apparition du Christ. C’est l’apparition d’un signe qui nous donne le visage du Christ selon l’iconographie chrétienne et notamment selon le linceul de Turin. Et la population avec le sens inné de la foi a vu dans ce visage, le visage du Christ. Pourquoi pas ?” “Ce qui est sûr c’est que c’est un signe et que ce signe justement est dans un contexte déterminé. Il y a le lieu, sous la croix, sur le siège de présidence. Ça veut dire que c’est Jésus, le Christ, qui conduit l’Eglise. Et, nous avons nous ministre de l’Eglise à correspondre à ce qu’il attend de nous, et il est avec nous jusqu’à la fin de monde. C’est le premier point”. “Deuxième point : cette image, ce signe apparaît dans l’église Jésus Miséricordieux, ça veut dire qu’on vit dans un monde cassé, il y a les conflits, il y a les guerres. On peut être déprimé, accablé, sans espérance. Dieu veut nous dire à travers ce signe par Jésus Christ ressuscité que son amour miséricordieux nous enveloppe et qu’il nous invite à aimer dans la responsabilité”. “Le troisième point, le signe apparaît en relation avec le chemin de croix et pendant le carême. Le Christ prend avec lui toutes nos croix, nous invite à la conversion, nous invite à aimer comme lui. Le message s’adresse d’abord aux chrétiens”. “Mais cet amour doit être comme celui de notre frère universel Jésus Christ. Jésus Christ aime tout le monde parce qu’il reflète l’amour du Père et notre créateur, notre créateur à tous, qu’on soit musulmans, hindous, ceux qui croient autrement et des athées. Nous sommes invités à nous aimer les uns les autres”. “Quatrième point : le signe apparaît dans une situation sociale vraiment difficile à La Réunion. Et nous n’avions pas calculé l’apparition de ce signe, ni l’envoi d’une prière ce week-end dans toutes les églises. La prière que nous avons envoyée à toutes les églises, disait prions pour la paix sociale dans notre île”. “Nous demandons à Dieu la lumière et la force pour nous même et pour tous les partenaires sociaux, associatifs, politiques, économiques, administratifs. Et on demandait à Dieux de nous aider à vivre ensemble comme les membres d’une grande famille humaine, capable de nous écouter, de rechercher la justice et l’amour dans toutes nos actions”. “On ne peut pas me dire que ce n’est pas un message de circonstance. Et on n’a pas calculé tout ça, ça arrive comme ça”. C’est un signe, un message de réconfort pour ceux qui en ont besoin ?“Effectivement, c’est Dieux qui nous enveloppe de son amour qui veut nous dire : ne vous décourager pas, devenez responsables ensemble. Donc si Dieu nous aime jusqu’à nous donner son propre fils et s’il est capable de nous ouvrir le cœur. Nous, il faut que nous ouvrions notre cœur et nos mains pour aimer avec le Christ”. Dernière question, c’est le troisième signe qui apparaît à La Réunion, il y a eu 1906 à Saint-André, 1919 à Cilaos et 2009 à nouveau à Saint-André, c’est signe, c’est un message particulier, cette fois-ci ?“Dieu donne toujours des signes dans la vie de chacun de nous. C’est tel ou tel événement qui nous interpelle, telle ou telle circonstance qui fait qu’il y a des événements qui paraissent indépendants mais qui finalement s’emboîtent et donnent un sens à notre vie”., “La vie de chacun de nous, a des signes, une société aussi a des signes et des interpellations. Je crois que c’est un signe pour l’Eglise. C’est formidable de voir les gens qui viennent nombreux voir ce signe. Il y aussi beaucoup de curieux, mais s’ils viennent en curieux et que leur cœur est changé et qu’ils deviennent soit croyant ou du moins aimant, il y a quelque chose qui bouge”.