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Esclavage et réparation

LES AFRICAINS N'ONT JAMAIS VENDU LEURS FRÈRES, mais comme partout, il y a toujours quelques dirigeants qui trahissent leur mission

Urgence panafricaniste

 

Expulsé du Sénégal sous le motif qu'il représenterait une «grave menace à l'ordre public», Kémi Séba est de retour en France. Mais le leader de la contestation contre le Franc CFA en Afrique francophone ne compte pas en rester là. Entretien exclusif.

Arrivé le 7 septembre en France après avoir été expulsé du Sénégal à la suite d'une manifestation contre le franc CFA, le polémiste Kémi Seba s'est confié à RT France concernant le mouvement qu'il mène en Afrique francophone.

«Nos dirigeants trahissent leur mission»

«Lors d'une manifestation contre le franc CFA et la Françafrique, j'ai pris l'initiative de brûler de manière symbolique un billet de 5 000 francs CFA afin d'alerter l'opinion publique. J'ai brûlé ce billet pour rappeler au monde entier que la jeunesse africaine est paupérisée, ostracisée et pillée économiquement», a-t-il affirmé lors d'un entretien exclusif accordé à RT France.

Incarcéré cinq jours à la suite d'une plainte de la Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest, le militant pan-africaniste a finalement été relaxé car la loi sénégalaise interdit de brûler «des billets» et non pas «un billet». 

Quelques jours plus tard, alors qu'il annonçait l'organisation, le 16 septembre, d'une manifestation dans plusieurs pays africains contre le franc CFA, Kémi Séba était visé par un arrêté d'expulsion pour «menace grave à l'ordre public» et pour avoir tenu «des propos désobligeants sur des chefs d'Etat africains».

«Je pensais que dire qu'il y a des dirigeants africains qui se couchent face à des velléités extérieures, qu'il y a des chefs d'Etat qui ne font rien pour leur population, c'était de la liberté de penser. Mon rôle, et celui des souverainistes africains, est de dire que nos dirigeants trahissent leur mission», a-t-il assuré. Lire aussi : Expulsé du Sénégal pour «menace grave à l'ordre public», Kémi Séba est arrivé en France

«Ils n'ont rien freiné, ils ont mis de l'huile sur le feu»Selon Kémi Séba, l'opposition au franc CFA et ce qu'il dénonce comme étant une forme de «colonialisme» serait loin d'être un mouvement anecdotique en Afrique francophone. «C'est la première fois depuis la période des indépendances qu'il y a des mobilisations simultanées en Afrique francophone avec un objectif commun. Tout le monde dit qu'il y a des prémices d'un printemps arabe naissant. La différence, c'est que notre printemps à nous, ou notre automne vu la saison, ne sera pas sponsorisé par des ONG exogènes comme celles de Soros et autres. Ça sera une révolution autodéterminée et une révolution pacifique», a-t-il expliqué.

«Je repars bientôt en Afrique francophone pour mener ce combat. Car c'est le combat de notre génération. Ils pensaient nous noyer, mais ils nous ont appris l'apnée. Ils voulaient construire notre tombe, mais ils ont édifié le trône d'une nouvelle génération africaine qui ne veut plus de ce principe de soumission. Ils n'ont rien freiné, mais ils ont mis de l'huile sur le feu», a-t-il martelé. 

Les demandes de réparations ont-elles une chance d’aboutir ?

Personne ne peut s’opposer décemment à des demandes de réparations morales, aussi est-il souvent plus facile de s’opposer aux réparations financières en soulignant la difficulté à démontrer, par des documents appropriés, le fait d’être réellement descendant d’esclaves.

Ainsi, François Hollande dans son intervention le 10 mai dernier, lors de la commémoration de la Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions, insistait sur le devoir de mémoire en matière d’esclavage et il énumérait les sites dédiés à la mémoire de celui-ci. Cependant, il répondait négativement en ce qui concerne les réparations financières évoquant “d’impossible réparation” et estimant que « l’Histoire ne s’efface pas. Elle ne peut faire l’objet de transactions au terme d’une comptabilité qui serait en tous points impossible à établir. Le seul choix est celui de la mémoire, de la vigilance et de la transmission ». [<[19]span>

En fait, cette distinction entre réparation morale et financière est très artificielle, car les réparations morales ont un coût, qu’il s’agisse de construire des monuments, d’encourager les recherches et les projets éducatifs. De même, les réparations financières ont une valeurmorale [<[2]Ainsi, lorsque François Hollande a annoncé dans cette intervention que l’État apporterait sa contribution au Mémorial ACTe de Pointe-à-Pitre (jusqu’à présent uniquement financé par la région Guadeloupe), il s’agit à la fois de réparations morale et financière. S’il est important que les Outre-marins disposent d’un lieu dédié à leur Histoire, on peut regretter cependant que ce musée n’ait pas été initié en métropole, où il est plus que nécessaire de faire connaitre aux métropolitains cette part de l’Histoire de France trop peu enseignée.

Que conclure sur les réparations liées à l’esclavage ?

• Que l’esclavage et la traite négrière aient été une abomination ? — Nul ne peut le contester. À ceux qui répondent que l’esclavage a toujours existé, on répondra que la traite négrière et l’esclavage transatlantique ont cependant des caractéristiques particulières. En effet, ils ne résultent pas d’un continuum historique, mais ont été froidement décidés pour des raisons économiques : se procurer une main d’œuvre à bon marché, plus résistante que les populations amérindiennes exterminées aux XVe et XVIe siècles.

Ce trafic est d’autant plus odieux qu’il s’appuyait sur une hiérarchie des races et sur le fait que les esclaves étaient considérés selon le Code noir de 1685 comme des « biens meubles ».

• Que les réparations soient justifiées ? — Oui, sans aucun doute.

• Sous quelle forme ? — Celles que les militants de ce combat pourront obtenir, qu’il s’agisse de réparations financières individuelles lorsque des descendants d’esclaves ont le courage d’aller en justice, ou collectives, lorsqu’il est possible de démontrer qu’une entreprise française s’est enrichie grâce à l’esclavage.

La construction d’un musée de l’esclavage ou au moins de salles permanentes d’exposition sur ce sujet au Musée du Quai Branly, par exemple, devrait être une évidence. Il en est de même pour l’encouragement de la recherche sur ce sujet.

Et nous conclurons avec Louis-Georges Tin : « La demande de réparation ne vise pas à renforcer la haine sociale. Dans les départements d’Outre-mer, ces questions sont encore source de colères… Plus de 160 ans après l’abolition, le contexte est toujours très tendu… Le sentiment d’injustice est fort, la domination coloniale, la domination raciale et la domination économique conjuguant leurs effets délétères. Mettre en place une logique de réparation permettrait de sortir par le haut de ce contentieux historique. Il faudrait un processus en trois temps : reconnaissance, réparation et réconciliation. La reconnaissance de l’esclavage comme crime contre l’humanité a été obtenue par la loi Taubira. La réconciliation véritable, objectif final, ne pourra se faire sans réparation véritable »

LA RESTAURATION DE LA VÉRITÉ HISTORIQUE / KEMI SEBA BRÛLE UN DRAPEAU / KKK...

Affaire : Olivier Pétré-Grenouilleau

_ Attaqué en justice en 2005 pour avoir dit que les traites négrières n'étaient pas des génocides, Olivier Pétré-Grenouilleau, historien et inspecteur général de l'Éducation Nationale, est à nouveau dans la tourmente. Son rapport d'inspection qui a conduit à la suspension de Catherine Pederzoli, professeur d'histoire géographie à Nancy, a été qualifié de «négationniste» par l'intéressée et son comité de soutien.

_ En 2005, un historien inconnu au bataillon du nom d’Olivier Pétré-Grenouilleau déclenchait une polémique pour avoir expliqué dans une interview au Journal du Dimanche que « les traites négrières ne sont pas des génocides » puisque « l'esclave était un bien qui avait une valeur marchande qu'on voulait faire travailler le plus possible ». Accusé de négation de crime contre l’humanité par les uns, défendu par les autres, le nom de Pétré-Grenouilleau était sur toutes les lèvres.

Affaire : Catherine Pederzoli

_ Cinq ans plus tard, une nouvelle affaire de racisme présumé agite les médias. Catherine Pederzoli, professeur d’histoire géographie au lycée Loritz à Nancy, a été suspendue de ses fonctions à la rentrée 2010 à la suite d’un rapport de l’inspection générale « négationniste avec de forts relents antisémites », si l’on en croit l’intéressée. L’auteur du rapport incriminé ? Olivier Pétré-Grenouilleau. Après les Noirs, les Juifs : cet homme a le chic pour heurter tous les communautarismes en fusion.

VIDEO parfois SUPPRIMEE : cliquer KLUX KLUX KLAN sur Yutube, vous comprendrez pourquoi..., ça doit se savoir !

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POURQUOI LA RÉPARATION ! ?... Cliquer sur OMOTUNDE pour comprendre

LE KU KLUX KLAN
KKK
Le Ku Klux Klan – du grec Kuklos, cercle et du latin Lux, lumière – est une organisation raciste, suprémaciste et criminelle fondée dans le Tennessee en 1865, quelques mois après l’abolition de l’esclavage aux États-Unis, par 6 officiers sudistes.
_ Le Ku Klux Klan, émanation des 11 états sécessionnistes et esclavagistes qui n’admettent pas avoir perdu la guerre, prône la suprématie des Américains d’origine européenne et de religion protestante.
_ Les membres du Ku Klux Klan agissent la nuit et terrorisent les Afro-Américains sous un costume censé évoquer les fantômes des soldats sudistes.
_ Après une série de crimes particulièrement horribles visant les Afro-Américains (assassinats, émasculations) le Klan est interdit par une loi du 20 avril 1871.
_ Mais l’organisation renaît en Géorgie en 1915, après la réalisation du film raciste de Griffith, Birth of a Nation (Naissance d’une nation) et avec le soutien discret du président Wilson.
_ Une tentative aura lieu, pendant la Première guerre mondiale, d’ouvrir une filiale du KKK à Paris, du fait de l’engagement dans le conflit de nombreux soldats afro-américains volontaires.
_ Malgré une interdiction en 1928, le Klan encouragera au racisme et au lynchage jusqu’en 1944, date de sa nouvelle disparition officielle, après avoir rassemblé jusqu’à 4 millions d’adhérents (1920).
_ Si le Ku Klux Klan n’a jamais été reformé officiellement, il continue d’exister officieusement sous la forme de plusieurs organisations se réclamant de lui et utilisant son folklore(chevaliers du Ku Klux Klan, église des chevaliers américains du Ku Klux Klan, Klan d’Amérique, chevaliers du camélia blanc etc…)  : on peut créditer le KKK de plus de 10 000 adeptes au début du XXIe siècle.
_ En 1978, le KKK a été infiltré par un policier afro-américain de Colorado Springs : Ron Stallworth.
_ Après l’attentat de Charleston, perpétré par un sympathisant notoire du Klan (il y fait explicitement référence dans son manifeste) et la contestation du drapeau sudiste, le Ku Klux Klan a organisé une manifestation en Caroline du Sud pour le 18 juillet 2015 devant le parlement de Columbia.
_ Malgré plusieurs tentatives, le Ku Klux Klan n’a jamais pu être classé au nombre des organisations terroristes, puisque, officiellement, il n’existe pas...

Re my sahlomon 4

VIDÉOS PAS REGADABLE SUR LE ... Faire un tour sur youtube taper kkk

8 Janvier 1454 : le Pape Nicolas V  et l'Église catholique bénissent l'esclavage et la traite négrière !

_ L'église catholique a joué sur un triple registre négrier, en co-produisant une idéologie de légitimation de la Traite et de l'Esclavage des Africains et de leurs descendants, en s'impliquant directement dans le partage des prédations négrières. Elle était le bénéficiaire économique et confessionnel de la Traite négrière...
_  En identifiant les Africains aux descendants de Cham, fils maudit de Noé, condamné à n'être que l'esclave de ses frères, l'église niait son humanité à travers son idéologie en se déshumanisant.
_ Pseudo-historiens Occidentaux n'ignorent pas, qu'avant que le Dahomey tombe pieds et poings liés dans les filets négriers, le roi Agaja Trudo avait opposée une énorme résistante contre les razzia Occidentales. Les rois Ashantis, Kongo, etc… Firent autant, mais malheureusement perdirent la bataille contre l'esclavage...

_ L’église catholique, accoudée à ses anciens coalisés de la période esclavagiste tente d’allumer des contre-feux médiatiques visant à faire pièce au puissant vent d’exigences de reconnaissance et de réparations qui a agité comme une lame de fond la Conférence Contre le Racisme de Durban en septembre 2001. La diversion toute trouvée a été la piteuse mise en scène en 2003 de prélats catholiques africains, qui plaidaient une responsabilité africaine dans la Traite négrière. Cette sortie inconséquente donnant volontairement ou non à s’absoudre aux associations négrières avérées : Lumières, Royautés, Industriels et Eglise. Il s’agit de rendre à l’Eglise l’entièreté de l’empreinte déposée de son ensauvagement - incivilisation - négrier.
_ Il est important de saisir la traite négrière comme une énorme entreprise de pratiquement cinq siècles de barbarie pendant lesquels l’alliance criminelle et afrocide des puissants d’Europe a fonctionné comme un broyeur d’humanités. Prélats, aristocrates, industriels, savants se sont mutuellement soutenus et influencés pour fabriquer une an-Afrique à leur image : le lieu spécialisé d’une déportation sanglante de millions d’Africains esclavisés.
_ L’autorité morale de l’église dans la société européenne était incontournable pour toute activité d’ampleur, elle régissait le quotidien, le spirituel, imbriquée au pouvoir qu’elle renforçait et à qui elle en imposait. La puissance d’évocation de la chrétienté, les territoires dominés par la religion et l’ordre chrétien relevaient de la diligence des hautes cimes de la société européenne.

_ Ainsi l’église catholique a t-elle joué sur un triple registre négrier, en co-produisant une idéologie de légitimation de la Traite et de l’Esclavage des Africains et de leurs descendants ; en s’impliquant directement dans la partage des prédations négrières ; enfin en étant bénéficiaire économique et confessionnel de la Traite négrière.
_ D’un point de vue idéologique, l’église a popularisé la légende de la descendance de Cham, fils maudit de Noé dans la Bible, condamné à n’être à jamais que l’esclave de l’esclave de ses frères, identifiant les Africains aux descendants de Cham…
_ Cette désignation arbitraire d’une couleur, d’une altérité à mettre sous les fers, permettait de contribuer à l’extinction en Europe de stades extrêmes d’asservissements, accordant les pratiques d’exploitation sociale des puissants avec le discours chrétien à usage interne. Les infidèles, païens, hérétiques, incroyants, lointains devenaient des esclaves par nature pour les mélanodermes spécifiquement.
_ Dans ce contexte de justification de l’injustifiable, de légitimation de l’illégitime par essence, le 8 janvier 1454, Nicolas V, de son vrai nom Tommaso Parentucceli [1398-1455], 206ème pape, écrit au souverain du Portugal Alphonse V une bulle papale spéciale l’autorisant à soumettre en esclavage les nègres de Guinée et les païens.
_ Cette position de l’église chrétienne, accompagnée de la légende de Cham que la noble institution diffusait sans s’encombrer de son réel fondement textuel et théologique, trop contente de disposer de nouveaux territoires de croisades, d’évangélisation, ferait autorité balayant les réticences des négriers en herbes et traitants néophytes.
_ La position de l’église catholique par rapport à la Traite négrière n’allait pas être un épiphénomène loin de là, ses encouragements à l’ensauvagement esclavagiste continueraient tout au long de la période négrière, à l’instar de l’activisme doctrinaire de l’éminent théologien français Bellon de Saint Quentin, qui se servait des Saintes Ecritures pour libérer la conscience des traitants qui s’en remettaient à sa science.
_ L’église chrétienne fut aussi l’institution qui consacra, par l’intermédiaire de son représentant le pape Alexandre VI, Rodrigo Borgia de son vrai nom, le partage du monde entre le Portugal et l’Espagne en 1494 par le traité de Tordesillas. Au Portugal, revenaient l’Afrique, l’Asie et le Brésil alors que l’Espagne se voyait octroyée le reste de l’Amérique.
_ Théoricienne et organisatrice de la Traite négrière, l’église allait s’activer pour en être un bénéficiaire direct et temporel, ne s’oubliant pas au festin des prédateurs.
_ En effet lorsque le premier acte négrier fut posé par le rapt de dix Africains, perpétré par une expédition militaire portugaise menée par Nuno Tristan et Antam Gonsalves, les « meilleurs esclaves » furent offerts à Gabriele Condulmer dit Eugène IV, 205ème pape de l’église catholique, apostolique et romaine.

 

Negroes 24b6b

[1] À VENDRE, à bord du bateau Île de Bance le mardi 6 mai prochain, à l’Asbley Ferry : une cargaison de choix d’environ 250 NÈGRES parfaitement sains, tout juste arrivée d’Afrique, Côtes du Riz et Sous le Vent. Un soin extrême a déjà été pris et continuera pour les garder exempts de la moindre contamination de variole, en empêchant toute communication soit à bord soit avec les populations.
Austin, Laurens & Appleby
N.B. Plus de la moitié des susdits Nègres ont déjà eu la variole dans leur propre pays.

Esclavage

KkkDe file du klu klu klan

_ A cela s’ajoutent les esclaves qui travaillaient dans les abbayes, monastères et autres lieux de résidence des religieux, soumis à toutes les servitudes liées à leur double de statut de bien meuble et d’esclave par nature, convertible à souhait au christianisme.
_ Il ne faut pas oublier, en sus, le Code noir qui régissait dans les colonies françaises l’ensemble des soumissions et tortures légales des esclavisés, tous les instants de leur quasi-existence étant par décret orientés vers l’économie de plantation. Ce Code fait expressément référence à l’église catholique seule religion autorisée dans les colonies, monopole sur le marché de dieu...
_ Il convient par conséquent de rendre au christianisme négrier ce qui lui revient, de s’armer d’une intransigeante culture de veille devant les nouveaux assauts de révisionnisme décuplés depuis que la question des réparations à la Traite négrière est abordée dans les grands forums internationaux comme Durban.
_ La soudaine publicité au Vaudou béninois se termine rituellement dans les médias occidentaux par l’allégation avec pseudo témoignages de la participation volontariste du Dahomey à la Traite négrière.
_De telles indigences intellectuelles programmées pour produire des effets de désagrégation des dynamiques afro-diasporiques en cours et pour insensibiliser les opinions publiques occidentales à leur culpabilité historique procèdent par compilations sélectives des faits relatifs à la Traite négrière.
_ Il est caractéristique que l’on ne se demande pas quelle était l’économie du Dahomey avant son entrée dans la Traite esclavagiste…Cette absence n’est pas neutre, elle s’explique par la nécessité de présenter des cas purs de collaboration volontaire d’Africains à leur démolition négrière.
_ Or les historiens n’ignorent pas que avant que le Dahomey tombe pieds et poings dans les filets négriers, le roi Agaja Trudo avait déployé une énorme énergie résistante et politique pour arrêter la traite, proposant d’autres formes explicites de coopérations aux pays européens, faisant appel à leurs artisans, ainsi qu’il en fut des rois Ashantis, Kongo, etc…
_ Akam Akamayong

_ Source : AFRIKARA
_ La soudaine publicité au Vaudou béninois se termine rituellement dans les médias occidentaux par l’allégation avec pseudo témoignages de la participation volontariste du Dahomey à la Traite négrière.
_De telles indigences intellectuelles programmées pour produire des effets de désagrégation des dynamiques afro-diasporiques en cours et pour insensibiliser les opinions publiques occidentales à leur culpabilité historique procèdent par compilations sélectives des faits relatifs à la Traite négrière.
_ Il est caractéristique que l’on ne se demande pas quelle était l’économie du Dahomey avant son entrée dans la Traite esclavagiste…Cette absence n’est pas neutre, elle s’explique par la nécessité de présenter des cas purs de collaboration volontaire d’Africains à leur démolition négrière.
_ Or les historiens n’ignorent pas que avant que le Dahomey tombe pieds et poings dans les filets négriers, le roi Agaja Trudo avait déployé une énorme énergie résistante et politique pour arrêter la traite, proposant d’autres formes explicites de coopérations aux pays européens, faisant appel à leurs artisans, ainsi qu’il en fut des rois Ashantis, Kongo, etc…
_ Akam Akamayong
_ Source : AFRIKARA

 

Docteur vaudou le 1

Femme d'Afrique : Isabel dos Santos : la fille du Président angolais

Ces velléités ont fait puissamment réagir le gouvernement de Luanda qui, du coup, remet en cause les liens traditionnels avec le Portugal. Il vient d’annuler toutes les réunions intergouvernementales prévues et d’affirmer que « l’Angola va regarder vers d’autres horizons et va repenser sa politique extérieure avec d’autres priorités ». Chacun sait que les autres horizons en question se situent du côté de la Chine qui est déjà un partenaire très important et qui attend, en coulisse, sans faire de remarques désobligeantes !
_ Ainsi, le Portugal retient son souffle. Il craint de devoir rapatrier en catastrophe les 200.000 portugais installés en Angola. Cela serait autant de chômeurs en plus à indemniser et à  garantir une assurance santé. Sans compter la perte colossale pour l’économie du pays qui sombrerait. L’Angola pourrait être la charge de trop qui ferait plier le dos du chameau !… C’est aussi la revanche de l’ancien colonisé
 "Isabel Dos Santos continue d’acheter le Portugal

LA FILLE AÎNÉE de José Eduardo dos Santos a été identifiée par Forbes en 2013, comme la femme la plus riche d’Afrique (et la 736e fortune mondiale). La « princesse Isabel », belle métisse issue du premier mariage du président, disposerait à 40 ans d’une fortune estimée à 2 milliards de dollars. Elle détient des intérêts diversifiés en Angola, mais aussi, dans un étonnant retour de l’histoire, au Portugal. Présente dans la banque – avec entre autres 25 % de la Banque internationale de crédit (BIC), la plus importante institution financière angolaise, et presque 20 % de la Banque portugaise d’investissement (BPI), quatrième banque du Portugal – mais aussi dans les diamants, l’énergie, le ciment, l’immobilier et l’agroalimentaire. Enfin les télécoms assurent la base de son empire avec sa participation de 25 % dans Unitel, l’un des deux réseaux mobiles angolais. Mariée à Sindika Dokolo, 41 ans, métis dano-congolais et grand collectionneur d’art contemporain, elle opère en toute discrétion, tout en étant régulièrement décrite comme « la femme d’affaires de son père… »

Le Portugal est isolé, à l’extrémité Ouest de l’Europe, aux limites extrêmes de la communauté économique, dans une sorte de cul-de-sac. Mais les portugais se souviennent des vieilles relations culturelles qu’ils ont toujours entretenues au sein de la lusophonie qui s’étend au-delà des mers, en Afrique et en Amérique. De nombreux jeunes portugais diplômés émigrent vers le Brésil et l’Angola, encouragés par le gouvernement. Ce dernier a même proposé de fournir à ces pays des bataillons de jeunes instituteurs et professeurs. Mais il fut fraichement accueilli, en particulier par le Brésil qui a fait savoir qu’il n’avait nul besoin des enseignants portugais !
Les relations avec l’Angola sont au cœur des discussions actuelles. Ce pays est le deuxième exportateur de pétrole d’Afrique et regorge de matières premières. Il est pour le Portugal une source traditionnelle d’un important volume d’affaires. De nombreuses sociétés sont très actives en Angola et ce dernier place d’importants capitaux dans l’économie portugaise. Mais Lisbonne n’a pas su résister au besoin de faire la morale à son ancienne colonie. C’est un travers partagé par l’ensemble des anciens colonisateurs d’ici ou d’ailleurs. La Justice portugaise et les media ont voulu mettre leur nez dans certaines affaires angolaises dans lesquelles étaient impliqués des proches du président José Eduardo Dos Santos.

On y danse bien

Brillant discours du Président Patrice Talon

Date de dernière mise à jour : 2020-02-06

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